Carla est dans la merde. La jeune femme de dix-huit ans vient de se faire virer de chez elle, du grand appartement familial situé en plein cœur des quartiers bourgeois de Paris.

Après plusieurs jours à errer dans les rues, la seule solution qu’elle trouve est de se faire embaucher comme femme de ménage dans un garage automobile qui propose de l’héberger.

Mais voilà, ce que ne sait pas encore Carla, c’est que le garage est peuplé d’êtres pervers, tous plus obsédés et dépravés les uns que les autres. Il y a les trois mécanos, qui commencent à lui tourner autour, dans l’atelier.

Et puis il y a Karine, la secrétaire aux caresses beaucoup trop sensuelles.

On dirait bien que le petit cul et les mignons petits seins de la jeune femme naïve aiguisent l’appétit de ces êtres lubriques et immoraux. C’est fort probable que, dans ce garage, tout le monde, les ouvriers comme la secrétaire, n’a comme projet que de faire se terminer tout ça en orgie.

En plus, pour garder sa place, Carla devra s’attirer les faveurs du patron… d’une façon ou d’une autre…

La candeur de la jeune femme et son côté sainte-nitouche vont-ils résister longtemps dans ce repère du vice ? Ce qui est sûr, c’est que tout cela la trouble et fait naître en elle des pulsions qu’elle ignorait jusque-là, et qu’elle a envie d’enfouir en elle.

Va-t-elle s’enfuir ou, au contraire, accepter de devenir un objet sexuel, une petite pute bonne à réaliser les fantasmes de tout le monde ? Si elle accepte, est-ce que ce sera à contrecœur, ou bien va-t-elle se vautrer sans retenue dans la luxure ?

Charles, un ami de son père, vient à son secours et lui propose de venir habiter chez lui, de regagner les quartiers luxueux de Paris. Mais, après avoir goûté au cul bien salace et aux pratiques les plus inavouables, la jeune bourgeoise parviendra-t-elle à réintégrer son milieu d’origine ?

Des scènes très lubriques, décrites en détail. Ce livre est vivement déconseillé au moins de dix-huit ans.

Extrait :

Mais le pire arrive vers quatre heures de l’après midi. Les trois mécaniciens quittent les voitures sur lesquelles ils travaillent et viennent se mettre en cercle autour de la jeune femme. Cette dernière n’en peut plus. Deux heures qu’elle frotte encore et encore la même tache tenace. Elle a l’impression de devenir folle, elle est épuisée moralement et physiquement. La peau de ses mains, à force de tenir la serpillière humide, est toute fripée. Elle frotte machinalement, sans plus penser à rien, sans même plus s’occuper de son cul ou de ses seins qui, quant à eux, se sont pour de bon échappés du bikini. Elle ne remarque même pas les trois paires de chaussures de travail qui viennent l’entourer.

Les trois hommes, en silence, contemplent le spectacle magnifique qui s’offre à eux : le petit cul à l’air, les seins mignons qui remuent au rythme de la serpillière. Carla, plongée dans sa transe douloureuse, ne les entend pas quand ils commencent à parler entre eux.

— Je trouve qu’elle a ramolli, commence Mathieu, le gominé.

— C’est clair qu’elle ne frotte plus avec la même conviction que ce matin, confirme Bertrand.

— Il faut peut-être la réveiller un peu ? propose Xavier, sans lâcher des yeux, derrière ses petites lunettes rondes, le beau cul offert à leurs regards.

Sur ces mots, il assène une claque sèche sur la fesse droite de Carla. Sa main, pleine de graisse, y laisse une marque noire et luisante.

La jeune femme sort sur le champ de l’état hypnotique dans lequel l’avait plongé son travail ingrat. Elle prend soudain conscience qu’elle a les seins et le cul à l’air, et que les trois ouvriers sont autour d’elle, en train de l’observer. Cependant, elle ne bouge pas, et reste à quatre pattes, immobile et docile. C’est que la claque sur son cul vient de la perturber en profondeur. Aymeric, son petit copain (son EX-petit copain !), ne s’est jamais permis une telle familiarité avec elle. Tout ce qu’il faisait avec elle, c’était la masturber un peu, puis la pénétrer doucement en missionnaire avant de jouir presque aussitôt.

Carla est paralysée par le choc de la claque qu’elle vient de recevoir sur son cul. Elle ne sait pas comment réagir. Alors, à la suite de Xavier, Bertrand et Mathieu s’y mettent. Ils lui claquent le cul avec leurs grosses mains pleines de graisse noire, ils lui pelotent les seins, ils lui pincent les tétons.

Le corps de la jeune femme est bientôt complètement souillé par un mélange de graisse et d’huile, et son cul et ses seins sont douloureux… tandis que sa petite chatte mouille comme elle n’avait jamais mouillé, pas même quand Aymeric la masturbait pendant de longues minutes.

Une partie de Carla est révoltée par ce qui se passe, tandis qu’une autre partie, plus profonde, plus animale, aimerait que les hommes déboutonnent leurs braguettes et la prennent là, sauvagement, qu’ils la recouvrent de graisse et de foutre.