Oui mais… oui mais voilà, ils ont un lourd secret : ils sont encore puceaux. Depuis trois ans qu’ils se fréquentent, bloqués par leur timidité maladive, ils ne parviennent pas à franchir le pas.

Heureusement, la meilleure amie de la mère de Maxime va s’inviter dans leur intimité. La quadragénaire va si bien manœuvrer qu’elle parviendra, un soir, à se retrouver nue avec eux. Sa force de persuasion est telle, que le petit couple, tout d’abord réticent, se laisse finalement embarquer dans l’univers cochon de la sublime salope.

S’ouvre alors pour le trio un univers lubrique dont les seules limites semblent être celles de l’imagination de la quadra. Celle-ci prend un plaisir inégalable à pervertir les deux jeunes, à corrompre leur innocence et à les emmener toujours plus loin vers le sexe bien sale.

À quel moment les fait-elle basculer de l’autre côté ? Quand elle leur ordonne de se renifler mutuellement le cul, comme des porcs, juste avant le moment du dépucelage ? Ou quand elle les encourage à baiser au milieu de la plage de nudistes ?

Finalement, il est possible que tout était déjà joué quand la quadra a posé pour la première fois ses yeux gourmands sur le petit couple, semant, avec ses regards appuyés, le trouble dans leurs cerveaux innocents.

Un récit pornographique sans tabous. Interdit aux moins de 18 ans !

Extrait :

— Mais pourquoi vous ne vous pelotez pas, les jeunes ? Ce qui est bon, quand on est dans l’état où vous êtes, c’est de se caresser mutuellement ! Vous ne l’avez jamais fait, c’est ça ? Mes pauvres biquets, heureusement que Tatie est là ! Je vais vous aider, attendez…

Sur ce, elle s’accroupit devant eux, au niveau de leurs genoux. Sa nouvelle posture, cuisses grandes ouvertes, révèle tout de sa chatte ruisselante de mouille. Du coin de l’œil, les deux jeunes scrutent ce beau sexe ouvert, luisant et appétissant. Et l’un comme l’autre (même Manon, oui oui !) en sont chamboulés.

Doucement, la quadra prend la main de Manon et la pose sur la cuisse de Maxime. Elle en fait de même avec celle du jeune homme, et la pose doucement sur la cuisse de l’étudiante.

Alors des décharges de plaisir parcourent le corps des deux tourtereaux. Ils reprennent leurs baisers passionnés, avec cette fois leurs mains au bon endroit.

Mais c’est pas vrai ! se dit Tatie, plus amusée que jamais. Pas un des deux ne va remonter sa main jusqu’à l’entrecuisse de l’autre ? Ils vont la laisser là, posée bêtement ? Décidément, ils sont encore plus nouilles qu’ils ne le laissaient supposer. Mon Dieu, je suis tombée sur deux diamants bruts ! Je vais en faire des vrais petits cochons, et ça va être d’une jouissance phénoménale que de les guider vers une luxure débridée !