Je deviens la petite salope de mon Beau-Père
Ebook 3,99 €
*** Une jeune femme de 18 ans met tout en œuvre pour séduire son beau-père et devenir sa petite salope***
Camille est désespérée : Christian, son beau-père, hante ses fantasmes. Mais le quadra ne la voit que comme une gamine et reste insensible à son charme. Camille parviendra-t-elle à ses fins et à devenir la petite salope de son beau-père ?
Extrait :
Puis vient le bruit de la tête du lit conjugal frappant à intervalles réguliers dans le mur. C’est le signe que Christian a commencé à baiser Maman. Maintenant, Camille entend parfaitement leurs respirations, leurs râles, leurs baisers passionnés.
Au début, il y a quelques mois de ça, quand elle a commencé à espionner les ébats du couple à travers la cloison, la jeune femme était un peu gênée d’entendre le plaisir de sa mère. Mais, le temps passant, elle s’y est habituée pour ne plus se concentrer que sur les sons qui sortaient de la bouche de son beau-père.
Cette fois encore, les grognements de Christian, sa voix grave qui prononce des mots dont la cloison l’empêche de saisir le sens mais qu’elle imagine très cochons, ses gémissements de plaisir, tout ça excite énormément l’étudiante qui accélère les mouvements de ses doigts sur son clitoris.
Elle saisit un de ses godemichets, le noir, son préféré et, tout en maintenant son oreille collée contre le mur, elle s’accroupit au-dessus. Quand elle s’empale sur la grosse queue en silicone, elle imagine que c’est Christian qui s’enfonce en elle. La bite artificielle se couvre vite d’une mouille chaude et gluante.
Enfin, vient le moment où le rythme des coups du lit contre le mur atteint une cadence effrénée. C’est le signe que Christian va bientôt jouir dans Maman. Camille entend le ventre musclé du quadragénaire claquer contre la peau de sa mère. Quand son beau-père lâche un râle de jouissance, expulsant ce sperme précieux que la jeune femme aimerait tellement goûter, Camille, le godemichet dans son vagin et ses beaux doigts contre son clito, jouit à l’unisson de l’élu de son cœur.
Puis, tandis que de derrière la cloison lui parviennent des rires étouffés et des bruits de tendres baisers, l’étudiante se roule en boule dans sa couette, nue, l’entrecuisse trempé de mouille. Doucement, silencieusement, elle commence à pleurer de désespoir.