*** Une jeune secrétaire médicale est prise en main par le médecin pour lequel elle travaille***

Jasmine accumule les retards et les erreurs à son travail. Un jour, le Docteur Martin, objet de tous les fantasmes de la jeune femme de vingt-cinq ans, lui propose de l’ausculter, afin de déterminer si son comportement trop léger n’aurait pas des origines médicales.

L’auscultation tourne vite aux jeux sexuels. Le diagnostic du médecin est très clair : Jasmine est une salope. Et pour ça il n’y a qu’un remède : de la baise, de la baise, et encore de la baise.

Mais le cas de Jasmine est sévère, et il faudra faire appel aux ouvriers qui, dans le couloir, repeignent les murs. Trois bonnes sodomies, coup sur coup, devraient stabiliser les symptômes de la jeune salope…

Livre très cochon, vivement déconseillé aux moins de 18 ans !

Extrait :

— Écoutez, Jasmine… vous devez comprendre que c’est votre dernière chance de garder votre poste. Soit on trouve maintenant de quoi vous souffrez, la maladie qui vous rend si légère dans votre job, soit vous dites adieu à ce dernier ! Vu ?

Rouge de honte, elle retire ses chaussures et sa robe, et se tient debout, immobile, avec la grande tache de mouille bien visible entre ses cuisses. Paradoxalement, la honte redouble son excitation, et la tache de mouille s’élargit lentement.
Le médecin contemple un instant cette dernière, mais son attitude, ainsi que son regard, restent professionnels. Aucune trace d’excitation dans ses gestes ou dans ses paroles. Jasmine ne sait plus où elle en est. Pourquoi a-t-il fermé la porte à clé, si la vue de son corps sublime, à la petite culotte mouillée, le laisse insensible ? Ce n’est pas pour la baiser qu’il l’a fait venir ? Il est vraiment sérieux avec son histoire d’auscultation ?
Il la fait s’asseoir sur le bord de la table d’examen. À la grande surprise de la jeune femme, le médecin ne se saisit pas de son stéthoscope, ni d’aucun instrument médical, mais de la tasse de thé. Il prend la cuillère, chauffée par le thé brûlant dans lequel elle trempait, et la pose sur la cuisse de Jasmine. La jeune femme frémit, et son excitation s’accroît encore. Merde, à quoi il joue ?

— Que ressentez-vous quand je pose la cuillère ici ?
— Euh… c’est chaud…
— Non, Jasmine, que ressentez-vous vraiment ? J’ai vu la tache sur votre petite culotte, vous savez ? Vous savez aussi que je suis tenu au secret médical… alors vous pouvez me parler sans crainte…
— Ça m’excite docteur !

Jasmine n’en revient pas elle-même de la spontanéité de sa réponse. Mais il faut dire que le docteur et son jeu pervers la troublent au-delà de tout contrôle.

— Eh bien voilà, jeune femme, on avance ! Et si je mets la cuillère là ? demande-t-il en posant cette dernière sur le sein de la secrétaire, juste à la limite du soutien-gorge.
— Ça m’excite encore, docteur ! Oh mon Dieu !

Un nouveau flot de mouille vient élargir la tache sur la petite culotte vert-clair.