Histoire de sexe gratuite
Vous ne me croirez jamais si je vous raconte ce qu’il s’est passé le week-end dernier ! Vous allez me prendre pour la dernière des cochonnes, j’en suis sûre ! Je… comment dire… Allez ! il n’y a pas dix mille façons de le sortir : j’ai léché la chatte de ma meilleure amie !
OK, ça y est, je le sens, vous me jugez… allez-y : je suis une salope, c’est ça ? Mais laissez-moi vous expliquer, j’ai des circonstances atténuantes…
Sarah (ma meilleure pote) m’avait invitée à passer le week-end dans ce qu’on appelle entre nous « Le Cabanon ». C’est une cabane de pêche construite au fond des bois, petite mais confortable, que l’on fréquente depuis que Sarah est en couple avec son nouveau mec qui adore taquiner la carpe et la tanche dans la mare située juste devant. Cette cabane, le gars l’a héritée de ses parents, elle est dans sa famille depuis trois générations. S’y côtoient donc des trucs improbables comme du matériel de camping haut de gamme et des boîtes de biscuits en métal datant des années 50 qui servent aujourd’hui à ranger les hameçons et ce genre de choses.
On y trouve aussi, derrière un paravent en toile, une baignoire en acier émaillé qui a l’air d’avoir connu la seconde guerre mondiale. Dans cette antiquité, on peut se baigner en faisant chauffer l’eau du récupérateur d’eau de pluie sur les brûleurs de la grosse gazinière. Il n’y a qu’à faire la navette une dizaine de fois avec la grosse marmite fumante, on remplit la baignoire et l’on peut se couler dans un bain délicieux en appuyant sa tête contre les gros rondins du mur de la cabane.
Le fameux week-end, donc, pas de mecs dans les parages, juste Sarah et moi. On avait décidé de se faire deux jours entre meufs pour fêter l’obtention de son Master et de ma Licence que j’avais mise deux ans à décrocher. On était en plein mois de juillet, mais le temps était à la pluie depuis des jours. Le Cabanon était environné de boue et dès qu’on mettait le nez dehors, des gouttes énormes dégringolaient sur nos têtes depuis le haut des arbres.
Le mauvais temps n’a pas entamé notre bonne humeur. Le samedi, on a passé la journée en sous-vêtements à paresser dans la cabane (l’atmosphère était terriblement lourde et moite et l’on profitait de l’absence de mâles pour rester en petite tenue). Dès 11h00 du matin, on s’est mis à piocher dans notre réserve de bières et on a passé l’après-midi à boire en matant des vieilles revues porno qu’on avait dégottées dans une malle aux odeurs douteuses.
Sur le coup de seize heures, il pleuvait encore mais ça n’a pas empêché Sarah (bien chauffée par la bière) de vouloir sortir en sous-tif et petite culotte.
― On va faire les meufs des bois, Julie, à poil dans la nature, comme les sorcières !
Un peu bourrée moi aussi, j’ai trouvé l’idée excellente. On sort et on se retrouve sous la pluie, en sous vêtements, avec les pieds enfoncés jusqu’aux chevilles dans la boue. Sarah va jusqu’à la mare, se plante devant et commence à mimer une danse occulte. Elle est morte de rire et se démène pour m’impressionner, mais j’avoue que j’ai l’attention portée ailleurs : la pluie a détrempé sa petite culotte en coton et, par transparence, j’aperçois les poils noirs de son pubis.
Sur le moment, une chaleur agréable m’envahit les reins… en fait, j’avoue que ce n’est pas la première fois que je suis un peu excitée par ma meilleure amie. Et si je dois être tout à fait honnête, je confesse que je la mate en douce depuis le matin, depuis qu’on s’est mises en sous-vêtements et qu’on a commencé à boire des bières. La peau dorée de ses cuisses, son petit cul, ses seins adorables compressés par le soutien gorge… tout ça me travaille depuis plusieurs heures sans que j’y pense vraiment et me maintient dans une douce excitation, diffuse mais très agréable.
― La Maaare des Sooorcières ! s’exclame Sarah en me désignant avec une gravité feinte l’étang recouvert d’une nappe de lentilles d’eau.
La surface verdâtre et sale de l’eau, les arbres noirs et noueux qui se penchent au-dessus… c’est vrai, on se croirait bel et bien dans un repère de sorcières, une cachette au fond des bois dans laquelle elles viendraient se livrer à toutes sortes d’orgies mystiques et terriblement lubriques.
― Dans cette mare, poursuit Sarah, les sorcières jettent le corps des hommes qu’elles ont vidés de leur substance vitale. Elles se mettent à califourchon sur leurs victimes et les baisent jusqu’à ce qu’il ne leur reste plus une seule goutte de sperme dans les couilles. Quand les mecs meurent de trop de plaisir, elles les jettent dans la mare.
Tiens tiens, Sarah se met à parler de cul… En réalité, dès qu’elle picole, elle nous invente des histoires décousues et dures à suivre, mais qui ont toutes un point commun : le cul ! Du coup, la chaleur dans mon ventre s’intensifie et je sens poindre entre les lèvres de mon sexe une humidité qui n’est pas due qu’à la pluie. Je pense que Sarah a saisi l’atmosphère sexuelle qui s’est installée entre nous, car elle me sourit avec dans les yeux une tendresse qui n’est plus tout à fait simplement amicale.
Soudain, elle prend une mine apeurée en fixant la mare (mais je vois bien l’étincelle d’espièglerie qui continue à briller dans son regard).
― Des bulles ! s’exclame-t-elle. Il y a là-dessous une victime des Sorcières qui finit de se noyer !
― C’est quoi, en vrai ? je demande en m’arrangeant pour venir me coller à elle.
Tandis que j’observe la surface de l’eau à ses côtés, j’en profite pour poser ma main sur le bas de son dos. Tout près, tout près de son cul. Je ne rêve pas : elle tend un peu les fesses vers l’arrière au fur et à mesure que mes doigts descendent.
― C’est sûrement une carpe qui cherche à manger dans la vase, tout au fond. C’est mon mec qui m’a appris ça. On appelle ça le fouissage. Elle remue la boue et libère les gaz contenus dedans, d’où les bulles… Mais attention, elle pourrait nous sauter dessus d’un seul coup !
Sarah a hurlé cette dernière phrase en riant et en se tournant brusquement vers moi, certainement pour m’effrayer. Je constate qu’elle a profité de l’effet de surprise pour poser ses mains sur les bonnets de mon soutien-gorge trempé de pluie. L’espace d’une seconde, je sens ses paumes toutes chaudes qui appuient sur mes tétons légèrement durcis. Ça aurait pu être le début d’un jeu bien cool… si elle ne nous avait pas déséquilibrées toutes les deux en se tournant si brusquement. Sans rien comprendre, nous perdons notre centre de gravité et nous tombons dans l’eau stagnante, en plein dans une nappe de lentilles d’eau.
Nous nous extrayons tant bien que mal de la mare, et, une fois revenues sur le plancher des vaches, nous nous observons et nous éclatons de rire. Nous avons des lentilles d’eau et des feuilles mortes partout dans les cheveux et sur la peau. Je sens même que des trucs suspects se sont glissés dans ma culotte, et je préfère ne pas savoir de quoi il s’agit.
Nous regagnons rapidement le confort bien sec de l’intérieur de la cabane. Une fois à l’intérieur nous réalisons à quel point l’eau stagnante de la mare pue sur nos jeunes peaux délicates. Il nous faudrait un bon bain dans l’antique baignoire en acier émaillée qui trône derrière le paravent. Sarah semble lire dans mes pensées, puisqu’elle demande :
― On remplit la baignoire ?
― Oh mon Dieu, oui !
Nous mettons donc deux grosses marmites remplies d’eau à chauffer sur la gazinière. Pendant que l’eau chauffe, on va pouvoir se consacrer à la priorité du moment : enlever nos sous-vêtements imbibés de l’eau dégueulasse et nauséabonde de la mare.
Fin de la première partie. Découvrez la seconde partie samedi prochain !
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