Le fauteuil


Histoire porno gratuite de la semaine

 

temps de lecture : 5 à 7 minutes

Aujourd’hui, un récit érotique gratuit particulièrement cochon ! Une histoire de cul dans laquelle une jeune étudiante découvre une longue tradition familiale de débauche !

Quand j’étais étudiante à la fac, j’avais dans mon petit appartement un beau fauteuil en velours vert que j’avais ramené de chez mes parents. Il trônait dans le minuscule salon de mon T2 et il faisait ma fierté à chaque fois que des potes passaient chez moi. C’était une magnifique antiquité, un fauteuil Art déco avec un cadre en acajou qui nous venait de ma grand-mère maternelle et qui, aussi loin que je me rappelle, avait toujours traîné dans un coin du grenier. Le velours émeraude, patiné, avait perdu de sa superbe, mais il était toujours d’origine. Depuis l’époque de mon aïeule, des dizaines de culs s’étaient assis dessus et l’avait allègrement râpé et troué. Il avait été repiqué un peu partout par les doigts experts de ma grand-mère et de ma mère. Mais malgré le passage du temps, il était toujours aussi majestueux, je l’adorais !

En plus de ça, il était toujours aussi confortable que dans sa jeunesse ! Durant les soirées que je passais avec mes ami·e·s à fumer des joints et à refaire le monde, celui ou celle qui arrivait à poser ses fesses dans le fameux fauteuil vert était certain d’être à l’aise toute la soirée. Pour les autres : chaises bancales, coussins, ou directement le carrelage dur et froid !

Mais j’avoue, l’utilisation pour lequel il était le plus confortable… c’était pour se faire lécher la chatte ! Je me souviens de la première fois. J’avais ramené chez moi un mec avec qui j’avais bien accroché en fin de soirée. C’était clair pour nous deux qu’on allait juste baiser, mais c’était OK : à 19 ans, je prenais la vie comme elle venait et, sortant un an auparavant d’une rupture amoureuse qui m’avait brisé le cœur, je n’avais plus envie de me prendre la tête. Bref ! on arrive chez moi et je suis déjà à moitié à poil, quand le mec me dit qu’il a une furieuse envie de venir enfouir son visage entre mes cuisses de petite salope. Ça m’a fait rigoler. Jusqu’ici, j’avais plutôt eu affaire à des garçons qui ouvraient les hostilités en se faisant sucer eux, reléguant mon plaisir au second plan. Ça m’a fait rigoler, mais ma jolie chatte que je sentais mouiller dans ma culotte me disait qu’en réalité, aussi incongru que ça me paraissait, c’était carrément excitant !

Je me suis donc mise totalement nue et, devinez où est-ce que j’ai été m’asseoir ? Dans le fauteuil de Grand-Maman, évidemment ! Les cuisses écartées, avec ce jeune homme au visage rouge de désir agenouillé à mes pieds, je me sentais comme une impératrice sur son trône. Le velours râpé me caressait délicieusement les dos et le cul, et le contact froid de l’acajou sous mes avant-bras renforçait mon envie de me conduire en reine.

Pendant qu’il me léchait, je lui ai donc caressé la tête doucement, avec tendresse, comme si j’avais flatté un bon chien particulièrement obéissant. Je prenais un de ces pieds ! Au bout d’un certain temps, j’ai fini par jouir en enfonçant mes ongles dans le bois patiné des accoudoirs. Et vous savez quoi ? Le mec a repoussé gentiment mon avance quand j’ai proposé de le sucer en retour ! Il m’a dit que me lécher le comblait totalement, qu’il ne voulait rien d’autre. Je vous assure que j’ai bien noté son numéro et que je l’ai rappelé régulièrement par la suite ! Enfin, bon, ce fameux soir, une fois le mec parti, je me retrouve seule dans mon petit appart et, horrifiée, je vois la grande tache de mouille que j’ai laissée sur le velours vert du fauteuil. Merde ! Et si ma grand-mère m’avait vue de là-haut !?

Ni une ni deux, je vais chercher un gant de toilette mouillé et je commence à frotter la tache. Ce faisant, je remarque d’autres taches qui, jusque-là, avaient échappé à mon attention. Il y en avait partout, sur le siège et jusqu’en haut du dossier ! Des taches larges et sombres, d’autres blanchâtres et plus clairsemées, il y avait de tout. Ok, c’était un vieux fauteuil, on ne pouvait pas s’attendre à la première fraîcheur… mais en regardant attentivement, j’ai vu que beaucoup de ces taches, au moins sur le siège, présentaient une forme et un diamètre similaires à mon auréole de mouille. L’imagination chauffée à blanc, il ne m’a pas fallu longtemps pour conclure que les autres types de souillures, celles qui faisaient de longues traînées, étaient du vieux sperme.

Les cochons ! Me suis-je dit en repensant à mes grands-parents, et même à mes parents. Pour être sûre, j’ai collé mon nez un peu partout sur le velours vert : pas de doute, ça sentait la baise, le foutre et la mouille. Atténuée par les années, l’odeur était faible, mais elle était bien là ! C’est là, je vous l’avoue, que j’ai découvert la nature de ce fauteuil. Ça n’était pas qu’une antiquité confortable. Non, c’était un totem familial, un totem du cul !

Chaque génération avait volontairement laissé sa trace sur le velours vert, puis avait transmis le siège à la suivante. Mon tour était venu, à présent, de perpétuer la tradition familiale. En y repensant, c’était bien ma mère qui m’avait proposé de prendre le fauteuil dans mon petit appart d’étudiante… Elle voulait que je prolonge le rituel ! Ma chatte a recommencé à ruisseler quand j’ai songé à tout ce qu’avait connu le siège. Je pensais à ma mère branlant mon père au-dessus du velours, dirigeant les jets de foutre vers le tissu au moment où Papa lâchait la purée. Je pensais à ma grand-mère se faisant baiser dessus, les cuisses écartées, laissant ensuite sa mouille, mêlée au sperme de mon grand-père, couler sur le beau velours vert. Ce fauteuil, c’était le totem de cul de ma famille, transmis de mère en fille !

Ce soir-là, je suis allé à nouveau m’asseoir dedans, pile poil sur ma flaque de mouille encore fraîche. J’étais émue de penser que le jus de ma petite chatte était en train de se mêler, dans le tissu, à celui de ma mère et de ma grand-mère. J’avais donc un air grave et solennel quand j’ai posé mes doigts sur ma fente mouillée. Je me suis caressée en pensant aux femmes de ma famille et à la façon dont elles s’y étaient prise pour recouvrir le fauteuil de ces sublimes sécrétions. J’ai joui en me sentant, comment dire, à ma place, en me sentant être le maillon final d’une longue chaîne de salopes.

Durant les années qui ont suivi, j’ai honoré à ma façon le totem de ma famille. En ramenant dans mon T2 des mecs et des meufs de passage, en les faisant jouir sur le beau velours vert qui exhalait (qui exhale toujours aujourd’hui) une belle odeur de cul. À l’heure où je vous parle, ce fauteuil est au pied du lit conjugal, dans la chambre où je baise régulièrement avec mon mari. Souvent, je le branle devant et le fait jouir dessus. Ou alors c’est lui qui me lèche et j’ajoute une nouvelle flaque de mouille à cet héritage merveilleux. Je lui ai expliqué l’histoire. Il trouve cela excitant. L’année prochaine, ma fille aînée entre à la fac. Le fauteuil lui revient, il trônera dans son appart d’étudiante. Je sais que, tout comme sa mère, sa grand-mère et son arrière-grand-mère, elle comprendra naturellement l’importance de cet objet et qu’elle saura lui apporter tout le soin qu’il requiert.

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