Les bas


Récit érotique gratuit

Les Bas, récit érotique gratuit


temps de lecture : 5 à 7 minutes


Pour commencer cette série d’histoires érotiques gratuites publiées hebdomadairement, voici un récit porno tout juste sorti du four ! Une histoire de sexe bien chaude dans un ascenseur, entre un patron et sa comptable.

Aujourd’hui, faut pas me faire chier ! PDG d’une boite qui met au point des moteurs révolutionnaires pour l’électrique, ça vous fait rêver ? Eh bah c’est parce que vous n’êtes pas à ma place ! Tel que je vous parle, je suis en route pour une réunion avec l’équipe technique, et je vous promets que mes gros poings aimeraient bien aller s’écraser dans la gueule de ces boutonneux tout juste sortis de la fac. Deux ans, ils ont eu deux ans pour mettre au point notre nouveau moteur ! Résultat : le bordel prend feu dès le premier essai, cramant toute la bagnole dans la foulée. En plus de ça, les actionnaires me poussent à commercialiser le produit, bien sûr, ils ne pensent qu’à s’en foutre plein les poches ; et si une gentille famille brûle dans l’une de nos voitures, ils s’en foutent, c’est pour ma gueule ! Aujourd’hui faut pas me faire chier !

Je vous jure, à la réunion, ces geeks de merde du département innovation ont intérêt à être clairs sur… tiens tiens, qu’est-ce que c’est que ça ? Je viens de rentrer dans l’ascenseur. Je ne suis pas seul. Une petite meuf de 20, 25 ans est déjà dedans. J’appuie sur le bouton, 45ᵉ étage. Je regarde les témoins du tableau de bord : elle va jusqu’au 47.

La jeune femme ne dit rien. Intimidée, elle fixe ses chaussures. Je suis habitué. Je suis le patron d’une boite de 2000 employés, forcément ça inspire le respect. Mais n’y a pas que ça. Ma cinquantaine tout en muscle, mon crâne chauve, mes gros poings de boxeur et ma gueule de brute impressionnent les filles de cet âge. Je le sais, là, elle est balancée entre la crainte d’être prise en défaut professionnellement et le désir de se jeter sur ma braguette.


Elle est jolie. Blonde, ses cheveux lisses descendent jusqu’à son cul. Elle doit travailler au service compta, car elle porte un tailleur très sage composé d’une veste grise et triste et d’une jupe tout aussi morose. Ouais, ça colle bien avec le 47ᵉ étage. Ses chaussures, j’aime bien : des bottines à talon haut en cuir noir qui cassent le côté trop sage du tailleur. Ça va bien avec ses collants… tiens, ce sont des collants ou des bas ? L’ascenseur monte doucement et sans obstacle, personne ne nous rejoint en route. D’étage en étage, je suis obsédé par cette question : collants ou bas ? Si ce sont des bas, j’imagine déjà sa chatte sous la jupe, et évidemment pas de culotte… ça y est, je bande !


N’allez pas croire que je suis le type de patron qui abuse de son pouvoir. D’ailleurs, tiens, c’est même marrant, mais avec les femmes je me comporte souvent de façon contraire à ce que pourrait présager mon physique de colosse. Avec les femmes, je suis… on va dire, un peu timide… en tout cas, impressionné. C’est ça le mot : impressionné. Et plus elles sont belles et sexy, plus elles m’impressionnent. Mais là, il faut que je trouve un moyen d’éclaircir le mystère : bas ou collants ? Après cette putain de réunion, je compte aller me branler aux chiottes, il faut que j’aie en tête la bonne image. Il faut que je trouve un moyen de savoir…

Un peu anxieux à l’idée de passer pour un con, je me lance dans une impro légèrement hasardeuse.

― J’aime bien vos bottes, Mademoiselle.

― Merci, Boss ! Disons que c’est ma manière à moi de me rebeller contre la tenue de croque-mort qu’on nous oblige à porter ici.

Je suis sidéré. Elle n’a toujours pas levé les yeux. Pas parce que je l’intimide. Non. Mais parce qu’elle estime que je ne vaux pas plus la peine qu’un autre qu’elle se dérange pour moi. Tout dans son attitude s’exprime en ce sens. Et puis sa voix… ferme, un peu rauque et légèrement espiègle. Sa façon de m’appeler Boss, aussi, avec un soupçon à peine voilé de dérision. OK, sous ses airs de chaton innocent, cette jolie comptable cache une panthère. Ça me plaît. Dans mon caleçon, mon érection redouble de vigueur. Maintenant que je suis à l’eau, plus question de faire demi-tour. Même si la remarque que je m’apprête à faire me paraît absolument ridicule venant d’un géant de deux mètres comme moi, je déclare, avec une fausse désinvolture :

― Vos bottes vont bien avec vos bas. Les deux sont dans le même ton. C’est classe. D’ailleurs, dites-moi, je n’y connais rien : ce sont bien des bas, non ? Ou alors des collants ?

Ce qu’elle me répond alors me coupe le souffle :

― Venez vérifier par vous-même… Boss !

Ce disant, elle se tourne face à moi et me gratifie d’un sourire à la fois ultra-sexy et désarmant. OK, j’ai joué au con, maintenant il va falloir que je porte mes couilles. Mon cœur bat à cent à l’heure et une boule d’anxiété me serre la gorge quand je pose ma grosse main juste au-dessus de son genou, à la lisière de la jupe qui est certes un peu triste, mais plutôt courte. Mon dieu ce que le contact du nylon m’électrise tout à coup ! Je sens la peau chaude de la cuisse juste derrière. J’en suis sûr, je le sens, mon visage est cramoisi. Elle le voit et son sourire s’élargit tandis que ses yeux se mettent à briller.

― Vous savez, fais-je en haletant un peu, je ne suis pas un expert. OK, c’est du nylon, mais ça pourrait être des collants comme des bas…

― Alors il faut aller vérifier dessous ! répond-elle en cillant d’une façon totalement affolante.

― Oui… oui, il faut !

J’enfouis ma main sous la jupe et je remonte mes doigts le long de la cuisse toute chaude, toute ferme… et vibrante de sensualité.

Je vous assure que là, je ne pense plus aux autres cons du département innovation ! J’ai l’impression d’être bourré, tellement cette jolie garce affole mes sens.

Enfin, mes doigts atteignent une large bande de tissu élastique qui fait tout le tour de la cuisse, un peu avant l’aine. Au-dessus : la peau, la peau douce et soyeuse, une peau que j’adorerais lécher sans retenue, comme un chien. Ou un porc. Son porc.

Des bas ! Putain ce sont des bas ! Merde, je suis ravi comme un gamin le jour de noël ! Satisfait de ma découverte, j’esquisse un mouvement pour me retirer de sous la jupe. Ce faisant, le dessus de ma main entre en contact avec une sensation exquise, à la fois tendre, chaude et mouillée. La salope n’a pas de culotte, et j’ai le dessus de ma main contre sa chatte, directement sur la fente ! Et elle mouille… c’est formidable, comme sensation, cette fente mouillée qui se colle à ma peau comme une ventouse un peu déchiquetée.

Du coup, je décide de rester là, entre ses cuisses, et je la regarde dans les yeux. Elle jubile et lâche un joyeux :

― Oh oh, surprise !

Cette petite salope m’excite trop avec sa chatte sans culotte, son effronterie et ses beaux yeux espiègles. Sans plus attendre, j’enfonce mon gros index dans la jeune fente dégoulinante et chaude. C’est bon bordel ! Mon doigt est happé par ses chairs avides qui répandent dessus un jus gluant que j’adore. Là, elle cesse son adorable provocation et, appuyée contre la paroi de la cabine, se laisse aller toute entière au plaisir.

Le reste de ma main sent une forêt de poils tout autour de la fente. Cette petite coquine, en plus d’avoir un caractère de panthère, est poilue à l’entrecuisse… merde, elle me plaît de plus en plus !

Mais nous arrivons bientôt à mon étage. Je ne veux pas la laisser sur sa faim. Avec mon index toujours planté dans son con, je pose mon pouce sur son clitoris et je masse son petit bouton à fond la caisse. En même temps, je lui laboure le cou avec mes lèvres, je la lèche, je l’embrasse, je la mordille.

Elle ne jouit que quelques secondes avant l’arrivée au 45ᵉ étage. Au moment où les portes s’ouvrent, elle est encore en train de réajuster sa tenue, les joues rouges, les yeux brillants et les lèvres gonflées de plaisir.

Avec un sourire complice et un clin d’œil, je lui lâche, avant de sortir de l’ascenseur :

― Bonne journée mademoiselle la comptable !

― Je pense qu’elle va être bonne, Boss, elle a commencé de façon formidable !

Durant la réunion avec les autres couillons du département innovation, je n’écoute rien. Je m’en bats les couilles de leurs conneries. Pendant tout le temps qu’ils parlent, j’ai l’index collé contre mon nez et je renifle l’odeur sauvage et merveilleuse de ma jolie comptable dont je ne connais même pas le nom.

Si cette histoire vous a plu, n’hésitez pas à commenter !

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