temps de lecture : 5 à 6 minutes
(La première partie est sur cette page)
Cette semaine, suite et fin de cette histoire érotique gratuite ! Nous retrouvons Julie et Sarah dans la petite cabane, sur le point d’enlever leurs sous-vêtements. Est-ce le début d’une belle baise lesbienne ?
Pour retirer nos sous-vêtements, on aurait pu se réfugier chacune dans une pièce différente. La cabane n’est pas très grande, mais l’une de nous aurait pu cacher sa pudeur derrière le paravent qui masque la baignoire, pendant que l’autre se serait foutue à poil à l’autre bout de la pièce principale.
Qu’est-ce qui nous a poussées à rester face à face pendant qu’on enlevait nos soutiens-gorge et nos petites culottes ? Toute la bière ingurgitée depuis le matin ? Le fait qu’on était encore un peu sonnées par le traumatisme d’être tombées dans l’eau dégueulasse de la petite mare ? Ou bien cette séduction diffuse, cette sensualité qui existe entre nous depuis le début de notre amitié ?
C’est Sarah qui se met nue la première, en me fixant bien dans les yeux avec un air grave. On ne rit plus. Tandis que mon souffle s’accélère, je vois apparaître ses beaux seins mats aux aréoles brunes et aux tétons foncés. Sa chatte, que je n’avais aperçue qu’à travers l’étoffe mouillée de sa culotte, me saute aux yeux avec la délicieuse obscénité de son buisson fourni.
J’enlève à mon tour mes sous-vêtements et offre à ma copine le spectacle (que j’espère appétissant !) de mes petits seins aux pointes rouges et de ma fente entièrement épillée. On reste comme ça une bonne minute à se détailler en silence. On sait déjà comment tout ça va finir, mais ce n’est pas évident de faire le premier pas, de poser la première caresse sexuelle.
Tout à coup, on éclate de rire. La glace est brisée, mais pas la tension sexuelle. Tout ce qui suit est moins le fruit de notre propre volonté que celui de l’énergie du cul qui nous enveloppe et qui nous guide.
― Alors, on le remplit ce bain ? Demande Sarah en me décochant un sourire magnifique.
Nous mettons deux grandes marmite d’eau à chauffer sur la grande cuisinière. Ensuite on ira vider l’eau tiède dans la baignoire. Il va falloir répéter l’opération une bonne dizaine de fois pour qu’on ait suffisamment d’eau pour s’y baigner toutes les deux.
Comme deux gogoles, nous fixons la flotte pendant qu’elle chauffe dans les marmites. Pendant que je suis absorbée dans la contemplation de l’ébullition qui arrive, je sens la main chaude de Sarah qui se pose sur ma fesse nue. Alors je prends moi aussi son petit cul dans ma main. On reste comme ça, comme un petit couple, main contre cul, sagement immobiles devant l’eau qui bout. Mais notre impassibilité n’est qu’apparente. À l’intérieur, je suis comme l’eau : je bous. J’ai terriblement envie de m’agenouiller pour enfouir mon visage entre les cuisses de Sarah. J’ai envie de lui lécher la chatte, de lui embrasser les cuisses et le ventre, de passer mon doigt dans la raie de son cul. Et je suis sûre à 100 % qu’a ce moment sa petite fente est aussi trempée que la mienne.
Pourtant, c’est dans un état d’esprit léger et espiègle que nous faisons ensuite des allers-retours avec les marmites entre la gazinière et la baignoire. À chaque fois qu’on se croise, nos peaux se frôlent et le contact fait monter d’un degré notre excitation. Au dernier voyage, Sarah se permet même de me mettre une claque sur le cul en éclatant de rire.
― Désolée, lâche-t-elle, c’était trop tentant !
C’est la provocation de trop : je l’attrape et je colle ma bouche à la sienne. Notre baiser est long, chaud et passionné.
Puis je lui prends la main et l’emmène vers la baignoire. Nous nous coulons toutes les deux dans le bain, face à face, les jambes entremêlées. À nouveau, il s’installe entre nous un silence gorgé de tension sexuelle. Sarah me sourit de toutes ses dents et je lui rends son sourire tandis que je sens mon ventre grouiller d’une excitation lourde et électrique.
Au bout d’un moment, je m’agenouille en faisant clapoter doucement l’eau du bain. En écartant tendrement les jambes de Sarah, je pose ses pieds de chaque côté de la baignoire. Je me penche en avant, sans lâcher son regard luisant de désir.
― Je suis une petite carpe salope, fais-je en approchant mon visage du ventre de Sarah, et je vais fouir ta vase toute chaude !
― Hummm, oui ma petite carpe, viens fouir ma vase ! répond-elle avec une voix qui tremble d’émotion.
Je mets ma main sous l’eau et, mon regard toujours planté dans le sien, j’introduis mon index dans sa petite fente poilue. Même dans l’eau, je sens le poisseux de sa mouille contre mon doigt. J’adore la sensation ! Je me mets à faire des va-et-vient tandis que Sarah renverse la tête en gémissant. Tandis que je la branle, elle pince ses tétons sombres entre son pouce et son index.
Pendant un moment, on n’entend rien d’autre que le clapotis de l’eau du bain, les gémissements de Sarah et la pluie qui, dehors, tombe avec régularité contre le toit en tôle de la petite cabane.
― Assieds-toi sur le bord… je lui murmure à l’oreille sans cesser de la branler.
Elle se hisse sur le bord de la baignoire et s’adosse contre les gros rondins grossiers et rugueux du mur. Ses pieds sont toujours sur les rebords de la baignoire. Sa position est donc terriblement indécente, cuisses grandes écartées et dos cambré. Un filet de mouille coule de sa fente poilue largement ouverte et glisse jusqu’à ses fesses mouillées.
Avide, j’avance mon visage et je le colle contre sa chatte. Alors même que Sarah vient de s’extraire du bain, son sexe exhale une magnifique odeur de femelle en chaleur. Quand je prends son clitoris dans ma bouche et que je commence à le suçoter, ma meilleure pote lâche un cri de plaisir qui va se perdre dans les bois alentours.
Je la lèche pendant de longues minutes tandis qu’elle plaque mon visage contre son entrecuisse avec ses mains passées derrière ma tête. Enfin, elle jouit en maculant mon joli visage avec sa mouille chaude et gluante. En souriant, je me lèche les babines et je conclue ce beau cunnilingus par des petits baisers tous chauds que je dépose un peu partout sur ses cuisses et sur son ventre.
Le soir, assises nues dans des chaises en plastique sous le petit auvent, on tombe d’accord sur le fait qu’il faudra qu’on se refasse des week-ends comme celui-là.
― Je n’ai qu’à dire à mon mec qu’on veut se refaire un week-end entre meuf ici parce qu’on est tombées amoureuses de la pêche ? propose Sarah.
― Dans un sens, je fais d’un air malicieux, c’est pas faux…
― Ouais, ma petite carpe salope, dans un sens c’est pas faux…
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